Enfermé depuis 4 semaines, je peux enfin sortir. Coup de chance, cela coïncide avec le premier beau week-end depuis bien longtemps.
Acte 1: Samedi nous allons à la tour génoise d'Omigna. Pas de dénivelé et un endroit superbe qui le sera encore plus dans un petit mois, lorsque le maquis sera en fleur. J'y retournerai alors probablement. Nous nous sommes consolés de cette imperfection dans le timing en s'en prenant a un figatellu. On n'en a fait qu'un bouchée.
Acte 1: Samedi nous allons à la tour génoise d'Omigna. Pas de dénivelé et un endroit superbe qui le sera encore plus dans un petit mois, lorsque le maquis sera en fleur. J'y retournerai alors probablement. Nous nous sommes consolés de cette imperfection dans le timing en s'en prenant a un figatellu. On n'en a fait qu'un bouchée.
Acte 2: Dimanche contre toute attente, grand bleu. Paul s'octroie une journée au milieu de son déménagement pour nous accompagner lors de l'ascension sans histoire du San Damianu qui domine Sari d'Orcinu..
Hormis les habitants de la région, bien peux connaissent ce petit sommet. Sur la carte il n’apparait que comme un ressaut sur le chemin de la Punta San Eliseo. C’est pourtant l’un des plus beaux belvédères qui soit. Nous dominons la Cinarca à l’Ouest et le Cruzzini à l’est. Les villages, recroquevillés autour de leur
Hormis les habitants de la région, bien peux connaissent ce petit sommet. Sur la carte il n’apparait que comme un ressaut sur le chemin de la Punta San Eliseo. C’est pourtant l’un des plus beaux belvédères qui soit. Nous dominons la Cinarca à l’Ouest et le Cruzzini à l’est. Les villages, recroquevillés autour de leur
église sont des petites gouttes de vie au cœur du maquis omniprésent.
J’allais oublier la mer, toujours là. Le golfe de Sagone d’abord avec Cargèse au loin et le golfe d’Ajaccio en prime lorsqu’on arrive au sommet.
En deux mots : la Punta San Damianu gagne à être connue.
N.B. Ce jour là nous avions oublié le figatellu mais nous avions la pulenta dont je vous épargne la photo.
J’allais oublier la mer, toujours là. Le golfe de Sagone d’abord avec Cargèse au loin et le golfe d’Ajaccio en prime lorsqu’on arrive au sommet.
En deux mots : la Punta San Damianu gagne à être connue.
N.B. Ce jour là nous avions oublié le figatellu mais nous avions la pulenta dont je vous épargne la photo.